LucasArts, l'histoire...



C'est en 1982, que George Lucas créé LucasFilm Games. Cette entreprise va inventer les plus grand jeux d'aventures des années 80 et 90. Aujourd'hui la société que connaissons se nomme LucasArts depuis 1989. Nous la connaissons sans la connaître, oui, c'est grâce nottemment aux licences StarWars, Indiana Jones...etc. Elle réussira dans le domaine du jeu vidéo.

1 - Les jeux, toute une saga...
2 - Les jeux de LucasArts

1 - Les jeux, toute une saga...

LucasArts Entertainement LTD, qui s'est appelé à ses débuts LucasFilm Games, pendant 8ans seulement, crée par George Lucas en 1982. Elle est une autre partie de la société, les autres divisions étant Lucas Digital Services et LucasFilm LTD. Depuis à sa création (en 1982) à 1991, la société de création des jeux Lucas se nommera LucasFilm Games. En 1991, elle change sous le nom de : LucasArts Games, qui est toujours resté le même.

Les premiers jeux créer sont PHM Pegasus™ (simulation navale), Kronis Rift™, Labyrinth™, Bellblazer, Rescue on Fractalus® and Strike Fleet™... Ces jeux ne laisserons pas de grands souvenirs, sauf aux joueurs passionnés, peut-être.

En 1987, LucasFilm va faire fort, il inventent un nouveau genre : le jeu d'aventure à la souris. Jusqu'a cette année les jeux d'aventure comme King Quest© de Sierra, le joueurs sont obligés de taper les commandes : " go south ", " talk king "…Les programmeurs ont donc l'idée de créer une interface plus facile qui utilise des icônes qu'on sélectionne à la souris. Ils vont créer un outil, que LucasArts utilise encore aujourd'hui, le SCUMM™ (Script Creation Utility for Maniac Mansion, en français cela correspond à : utilitaire de création de scripts pour Maniac Mansion®). Et donc comme vous pouvez vous en douter, le premier jeu de cette nouvelle génération est donc Maniac Mansion®. Ce jeu aura un succès incroyable auprès du public, pour 2 raisons, l'innovation qu'a fait preuve LucasArts (enfin, LucasFilm à l'époque) et un scénario bien délirant et déjanté, un groupe de jeunes qui entre dans une maison (un château) appartenant à un savant fou et à sa famille, alors qu'une météorite s'est écrasé à côté…

En 1988, la société californienne améliore le SCUMM™ et sort Zak MacKracken®, un scénario encore plus amusant puisque vous jouez le rôle d'un journaliste qui part pour faire un reportage sur un écureuil à 2 têtes. LucasArts aime beaucoup (cela se voit), les scénario tordus et bizarres, pour notre plus grand plaisir. L'une des priorités, après les scénarios très travaillés (il travaille comme pour les dessins animés de Disney, avec des storyboards, bien travaillés, et joliment dessinés), est bien sûr avec des énigmes difficiles, mais pas impossible à résoudre (mais presque impossible). En cette année, LucasArts sortira aussi une simulation de vol, Battlehawks 1942®.

En 1989, 3 jeux sortent et non des moindres. Le premier Indiana Jones and the last crusade®, version Action. C'est la première fois que LucasArts utilise la licence d'un de ses film pour en faire un jeu vidéo. Le 2ème jeu à été jeu à été Their Finest Hour : The Battle of Britain®, la suite de Battlehawks 1942® et le 3ème, Pipeline, un petit jeu de réfection, assez prenant.

En 1990, apparût Loom®, The secret of Monkey Island (Monkey Island 1) ®, Night Shift®. LucasArts entre dans la dernière décennie du 20ème siècle bien armé . Deux jeux d'aventures devenus cultes, un moteur SCUMM™ toujours en amélioration et un petit jeu d'arcade. Loom®, dans la recherche de nouvelle interfaces, change un peu les habituels types de jeux puisque dans celui-ci, pas de bouton pour définir une action, mais pour agir sur un objet, il faut jouer une mélodie sur une sorte de canne. C'est l'un des jeux le plus beau et le plus enchanteur du catalogue de LucasArts Games. Quand à Monkey Island®, humour et piraterie font une aventure palpitante et très entraînante dans ce jeu.

En 1991, LucasArts continue à amuser les joueurs et lance encore 3 nouveaux jeux : Secret Weapons of the Luthwaffe®, la suite de Their Finest Hour : The Battle of Britain®, Monkey Island™ 2 : LeChuck Revenge®, une suite qui est simplement excellente, et Star Wars, pour Nintendo Entertainement System (NES). Mais 1991 verra surtout la naissance d'un nouvel outil pour l'aide et la création des jeux vidéos, c'est iMUSE™ (Interactive Music and Sound Effects en français cela correspond à : Musique et effets spéciaux intéractifs). Cet outil va permettre de mieux gérer les musiques dans les différentes phases du jeu. Exemple : vous êtes sur la plage, vous entendez des vagues, l'eau, puis vous entrez dans le bar. Sur un jeu classique, il y aurait une coupure et juste après on passe à la musique d'ambiance du bar. Ici, les bruits se mêlent dans un fondu enchaîné musical. Cela peut être évident, mais à l'époque c'était une grande nouveauté dans le domaine du jeu vidéo. iMUSE™ permet d'avoir d'autres effets spéciaux comme jouer avec la stéréo. iMUSE™ est toujours utilisé dans les jeux actuels.

De 1992 à 1995, LucasFilm Games devenu LucasArts Games continuera à améliorer des jeux (de nouvelle interfaces vidéos, CGA, MCGA, EGA, VGA, SVGA…etc et d'autre supports de jeux, pour Atari, pour PC, pour consoles…etc), iMUSE™, SCUMM™, tout en gardant un jeu et des scénarios drôles, déjantés, humoristiques et intéressants. Les jeux sont développés aussi pour les supports CD-Rom qui est qui une nouveauté, des versions Talkie (des versions où on entends les personnages parler) et des grands hits (version dans les dialogues enregistrés par de grands acteurs, qui devaient être traduit en français, mais les traductions n'ont jamais vu le jour, ils ne seront que sous titrés en français).

En 1992, version CD de The Secret Of Monkey Island®, Secret Weapons of the Luthwaffe® et Loom®, Indiana Jones and the fate of Atlantis™ sort en version disquettes et CD-Rom. Pour Nintendo (consoles), The Empires Strikes Back™ et Defenders of Dynatron City®, Super Star Wars®.

En 1993, ce sont les jeux suivants qui naissent : X-Wing® et add on, Rebel Assault®, Sam & Max Hit the Road™, et pour Nintendo, Super Empire Strikes Back et Zombies Ate My Neighbors®et surtout le fameux 2ème volet de Maniac Mansion, Day of the Tentacle (Le jour de la tentacule), qui apparaîtra en disquette en VGA et SVGA et en version CD-Rom. Les graphiques sont très " cartoon ", mais le jeu reste très palpitant et entraînant, comme tous les autres grands jeux cultes de LucasArts dont celui là qui en fait parti.

En 1994, on verra dans les magasins TIE Fighter® et pour Nintendo, Super Return of the Jedi™, Indiana Jones Greatest Adventures™ and Ghoul Patrol®.

En 1995, LucasArts cède à la grande mode des Dooms et sort le jeu, Dark Forces, mais il y a aussi Full Throttle® et Rebel Assault II : The Hidden Empire™.

A partir de 1996, LucasArts ne va pas se faire que des amis. Objectivement les jeux ne sont pas très originaux, LucasArts va abuser de la licence de Star Wars avec l'épisode 1 et puis l'épisode 2. On retiendra quand même les version Desktop de Indiana Jones (1996) et Star Wars (1997), de petits jeux de bureau, Jedi Knight : Dark Forces 2 (1997), Grim Fandango® (1998), Star Wars Rebellion (1998) et les suites de Monkey Island®. Monkey Island® 3 : The curse of Monkey Island (1997) et Monkey Island® 4 : Escape from Monkey Island (2000). Puis Star Wars Racer® (1999), qui aura un grand succès sur PC et en arcade.

En 2002, LucasArts fête ses 20 ans et fait travailler 300 personnes, et développe pour GameCube, Playstation 2, Xbox, et PC. Les jeux de l'épisode 2 commencent à arriver mais le jeu le plus attendu est Star Wars Galaxies, un jeu massivement multijoueurs. Des rumeurs annoncent aussi une suite à Monkey Island (Monkey Island 5 ?).

En 2005, LucasArts sort le 3ème (et le dernier) volet de Star Wars. Il crée un jeu en utilisant la licence de Star Wars.

En 2006, LucasArts développe un projet de 2ème volet de Sam & Max : Hit the Road en lançant Sam & Max : Freelance Police. Quelques mois plus tard le projet est annulé officiellement.

LucasArts a donc développé 43 titres originaux, et 37 jeux utilisant la licence de Star Wars et celle de Indiana Jones. Les jeux sont actuellement distribués dans 70 pays. Et ils sont tous traduit de l'anglais dans au moins 8 langues : chinois, français, allemand, italien, japonais, coréen, portugais et espagnol.

2 - Les jeux de LucasArts et LucasFilm Games…

Nous allons voir plus en détails les jeux les plus mythiques qui sont gravés dans les mémoires.

A - Maniac Mansion et Day of the Tentacle


Ces deux jeux sont liés, Day of the Tentacle étant la suite de Maniac Mansion. Ce fut une petite révolution dans le monde du jeu d'aventure : personnages animés, interface à la souris simple, des graphismes sympas. Bref, à sa sortie, il reçut un bel accueil. D'ailleurs, le scénario n'est pas étranger à son succès : Par une nuit de pleine lune, une météorite incandescente s'écrase à côté du château du docteur Fred. Vingt ans plus tard, ce même docteur kidnappe la jeune Sandy, pour des raisons inconnues. Grossière erreur. Dave, le petit ami de Sandy, décide de prendre d'assaut la maison, avec l'aide des ses deux meilleurs amis. Mais que se passe-t-il dans cette étrange maison ? On y rencontre des tentacules, un professeur fou, dès le début l'humour est omniprésent… D'ailleurs, lorsqu'on regarde le scénario du 2ème épisode, on voit tout de suite qu'il n'est pas en reste : Pour empêcher l'ignoble tentacule violet de devenir maître du monde, trois adolescents boutonneux grimpent à bord d'une machine à remonter le temps. Malheureusement, celle-ci a été bricolée par un savant fou (le Dr Fred) et ils se retrouvent coincés chacun dans trois époques différentes … Hoagie le hard-rockeux se retrouve ramené deux cents ans en arrière dans le passé tandis que la gentille Laverne (seul élément féminin du groupe) atterit deux cents ans après notre époque et que Bernard, matheux binoclard revient à son point de départ, le présent (pas très au point, la machine !). On continue dans le délire, un tentacule maître du monde, on ne peut le voir que dans un jeu de LucasArts : Les journalistes accueillent cette suite encore mieux que le premier opus : fabuleux, extra ordinaire, on ne fera pas mieux… Si on les écoutait, le jeu d'aventure se résumerait à DOTT, et ils n'ont peut-être pas tord !

B - Loom


Ce jeu de poème à lui tout seul… Dans un monde imaginaire, people par des Guildes aux pouvoirs magiques, un jeune garçon nommé Bobbin, de la Guilde des Tisserands, part à la recherché des siens, transformés en cygnes et parties vers le lointain… Mélodies célèbres, décors enchanteurs, personnages charismatiques, voici ce que recèle le monde magique de Loom. En 1990, LucasArts nous pondait là un petit chef-d'œuvre d'originalité qui apporta un vent de fraîcheur dans le genre du jeu d'aventure. L'histoire de Loom est sans aucun doute l'une des plus belles et poétiques qu'il aie été donné de voir dans le jeu d'aventure. Son interface, très accessible et uniquement basée sur les notes sort de l'ordinaire. En effet, la musique occupe une place très importante dans le jeu puisqu'il s'agit du fameux " Lac des Cygnes " de Tchakovski. Loom demeure un très beau jeu d'aventure, malheureusement trop court et trop facile.

C - La série des Monkey Island


Encore des chefs d'œuvre et encore signés LucasArts ! Ils sont forts ! Le spécialiste des jeux d'aventure nous gratifie d'un scénario bourré d'humour. Actuellement, il existe 4 épisodes (peut-être bientôt un 5ème), les 2 premiers étant les plus appréciés. Ils sont aussi connus pour leur difficulté. Nous allons voir tout cela en plus de détails…

Premier épisode :

Vous êtes Guybrush Threepwood, un jeune homme qui, pour surmonter son handicape patronymique, décide de devenir pirate sur l'île de Mêlée. Mais on ne devient pas aussi facilement un écumeur des mers : la sélection est rigoureuse et il faudra faire preuve de beaucoup d'astuce pour passer les trois épreuves, de manière, il est vrai, un peu " détournée ". Mais ce que le jeune Guybrush semble ignorer, c'est quand on est corsaire, on ne s'amourache pas la fille du gouverneur. Ou alors, si elle se fait kidnapper par un fantôme pirate, LeChuck, on accourt pour la délivrer sur l'îles aux singes. The secret of Monkey Island est un jeu sublime qui a marqué toute une génération et qui a donné naissance à 3 rejetons, de qualité variable. Le système de jeu est très simple ce qui permet de jouir des textes incroyables sans avoir à effectuer des manipulations trop complexes. De l'humour, de la loufoquerie et de l'aventure. N'hésitez pas, vous avez devant les yeux un hit en puissance.

Deuxième épisode :

L'histoire commence sur l'île de Scabb où un Guybrush, qui a quelque peu vieillit, raconte pour la centième fois une version toute " personnelle " de sa dernière rencontre avec le pirate fantôme LeChuck, son ennemi juré. Seulement, on commence à ne plus le croire et il va falloir trouver autre chose pour redorer son blason de pirate. Trouver le trésor de Big Whoop conviendra parfaitement. Seulement, comme si la tâche n'était pas assez compliqué, une chose en amenant une autre, quelques actions plutôt " irréfléchies " aboutiront à la résurrection de LeChuck, plutôt remonté contre Threepwood.

Monkey Island 2 a su garder le ton qui avait fait le succès du premier : de l'humour, des énigmes, du loufoque et surtout, de l'humour à la pelle ! L'interface est toujours aussi intuitive que dans la plupart des jeux de LucasArts (Day of the Tentacle, Indiana Jones and the last crusade…etc), les graphismes ont été nettement améliorés, l'histoire est bien fouillée et il est même proposée au joueur deux modes de difficulté. En gros ; les fans retrouveront les personnages sublimes qui les ont fait se tordre de rire et les néophyte prendront vite goût à cette nouvelle atmosphère agréable et inégalable.

Troisième épisode :

Après l'immense succès des deux premiers volets de la série (ou plutôt, maintenant, la saga !), ce troisième volet était attendu comme le Messie. A sa sortie, la ruée a pourtant été moins importante que prévue. Les joueurs avaient-ils prévu le coup ? Quoi qu'il en soit, la première chose qui choque, c'est les graphismes : fini les petits personnages marrants, le style est devenu CARTOON. Second choque, le jeu est parlé. On aime ou on n'aime pas, le fait est que le succès a été beaucoup moins grand que pour les deux autres prédécesseurs…

L'immortel Guybrush Threepwood se croit déjà perdu en pleine mer, condamné à une mort a atroce par manque d'eau et de nourriture. Heureusement, la tragédie dure 3 minutes et se trouve interrompue lorsque Guybrush atterit au milieu d'un bataille rangée entre Marley et LeChuck, son ennemi juré. D'abord capturé par le fantôme-pirate, il s'échappe pour apprendre que l'amour de sa vie accepte de l'épouser ! Magnifique ! Seul problème, l'alliance, avec son diamant gros comme un poing et quelque peu maudit et transforme Marley en statue. L'unique manière de la sauver passera bien sûr par une nouvelle confrontation avec l'horrible et terrifiant, LeChuck.

Le moins que l'ont puisse dire, c'est que Curse of Monkey Island prend les vieux habitués à revers. Le système de jeu " classique " a été abandonné au profit d'un mode d'avantage graphique. On y retrouve les personnages habituels, Guybrush, Marley, LeChuck, ou encore Stan (le vendeur de cercueils d'occasion), mais sous une forme nouvelle. Il reste de l'humour typique de Monkey Island, mais tout de même moins irrésistible que dans les 2 épisodes précédents. En définitive, c'est un bon jeu, qui plaira à beaucoup de monde, quand même en deçà de ses prédécesseurs.

D - Star Wars

Star Wars a connu, connaît, et connaîtra un succès mondial. Il est donc normal de voir des jeux tirés de Georges Lucas. Mais LucasArts ne s'est pas lancé dans l'aventure tout de suite. Il faudra attendre StarWars, en 1991, pour NES. Auparavant, Lucas laissait faire d'autres sociétés, comme Interplay. Les premiers jeux pour PC seront donc X-Wing et Rebel Assault (1993), TIE Fighter en 1994 et en 1995, l'excellent Dark Forces… Ensuite, LucasArts sortira des jeux biens plats, profitant de la sortie de l'épisode 1 et de l'épisode 2. Heureusement, il y a eu quelques jeux sympas, comme StarWars Racer (entres autres). Mais attardons nous sur Dark Forces : Dark Forces Le jeu démarre quelques temps avant le film LA GUERRE DES ETOILES. Kyle Katarn, un ex-officier impérial reconverti en mercenaire, travaille maintenant pour le compte de l'Alliance Rebelle. Sa première mission consiste à dérober les plans de l'Etoile Noire, détenus sur une lointaine planète…

Grâce en partie aux efforts de Katarn, la Rébellion parvient à détruire la Station spatiale impériale, mais une nouvelle menace se profile à l'horizon . Pour se venger l'affront subi par la destruction de l'Etoile Noire, le général Mohc envoie une redoutable armée de Cyborgs de son invention à l'assaut d'une base rebelle. Les Dark Troopers sont nés !

Quand Doom rencontre Star Wars, cela donne cette petite merveille ludique.

Entre le vaisseau de Jabba et la planète Coruscant, vous aurez de quoi faire ! Doté d'un excellent scénario (pour Doom-like), de cinématiques de qualité et d'un doublage VF plutôt réussi, Dark Forces fait partie des plus grand jeux de LucasArts (et de l'histoire du Doom-like), et parvient, de part son excellente réalisation, à parfaitement restituer l'ambiance du célèbre univers de Georges Lucas.

E - Sam & Max


Un grand jeu d'aventure comme LucasArts sait les faire… Sam & Max mes célèbres freelances sont encore en route pour sauver le monde… Sam, le chien, est l'intellectuel et Max, le lapin est un gros bourrin doté d'une grande force. Seulement, à première vue ça ce voit moins !

Votre mission sera de rassembler un couple : une femme girafe et un yeti… C'est du LucasArts ! Doté de graphismes somptueux et des superbes musiques, une vingtaine d'heures de bonheur ! Si vous êtes bloqués ou que vous vous emmerdez dans le jeu, rien ne vous empêche de faire une partie de bataille navale avec des voitures, des coloriages, d'habiller les héros avec des tutus, d'utiliser un casque de réalité virtuelle, la liste est longue. Il y a même un jeu pendant le générique de fin.

L'interface a été vraiment améliorée par rapport à DOTT, ce n'est plus le mythique " utiliser le feuille sur le crachat " mais elle se rapproche de Monkey Island 3 : Le curseur permet de fire plusieurs actions.

F - Et les autres…


Il existe beaucoup d'autres jeux de LucasArts devenus mythiques ou cultes, mais si on continue comme cela on pourrait parler pendant des heures de ses jeux. Ils on sortis 80 jeux, et que la plupart sont des hits ! C'est exceptionnel, et vous comprennez pourquoi on se devait réaliser un tel dossier. Les Indiana Jones, les Monkey Island, Zak MacKracken et … on pourrait longtemps continuer comme ça.



Rééditée d'une version de LTF par LAOG.
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